La fleur du mâle.
Commentaire de l'auteur
Extraits d’un poème tombé des sacoches d’une estafette. Inutile de solliciter Google, vous ne les y trouverez pas. :lol: ;-)
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Transcript
Case 1:Bird 1: - Histoire de s’échanger les derniers potins, - Autour d’un pot de risettes à propos de popotin, Case 2:Bird 1: - Devant un sourire vertical aux formes rebondies, - Ma vaillante arquebuse se dresse et s’enhardit Case 3:Bird 1: - Est-ce qu’un fessier tombé aux oubliettes... - Peut-être qualifié de cul de basses-fossettes ?
Arf ! Ces quelques lignes ne me sont pas inconnues !
Je n’ai toujours pas pris le temps d’imprimer les « feuillets sataniques » !
L’estafette a bien fait passer le message. Me manque le timbre pour réponse 😉
Je vois, Allouarn, que ta poésie nous fait la leçon… de choses.
Aussi, n’appartenant qu’à la petite rotule, et puisque l’on parle de prose au masculin, je ne vais la complèter que par une misérable prose, mais tout-de-même calembourdesque.
Nous savons que trochanter abîme le gosier, et du popotin restons alentour, puisque faute de coccyx dans les prés, ischion dans la m…ouise.
Allez, j’arrête là, les fémurs ont des oreilles, et à cause d’un jugement péroné, je risque un zéro de condyle.
Je tâcherai de fémur la prochaine fois.
Pas mal, pas mal du tout Allouarn. C’est beau comme… un camion et la rime est riche et originale. 😆
Pour répondre au point d’interrogation final, je crois bien que l’objet oublié peut être qualifié ainsi sauf à être disqualifié.
Force est de constater que la lettre Q, en minuscules ou en majuscules, ne s’avoue pas vaincue et nous catapulte dans un monde occulte.
On pourrait dire bien des choses en somme, comme :
De cet obscur objet désiré, il en résulte
Un objet de culte sacré où le mâle exulte.
Vous n’êtes pas sans savoir que cette mâle fleur est une eau de toilette d’un célèbre couturier, présentée dans un flacon au dessein (et galbe) original. A l’extérieur un buste d’homme aux formes viriles et masculines ; à l’intérieur, une flagrance tendre et sensuelle où se mêlent fleur d’oranger (touche féminine) et notes musquées animales. Mais comme dirait Hamlet, la question est : être ou ne pas être… sujet au mal de tête. 😉
Comme c’est bizarre Verdôt, ces lignes tombées des nues, du ciel ou de la dernière pluie ne me sont pas inconnues… non plus. 😆
Il me semble les avoir lues quelque part mais je ne sais plus où… et de fait il me plairait beaucoup de connaître, si possible, vos sources… mais nul n’est tenu à l’impossible. 🙂
Leçon de choses ou d’anatomie.
Ainsi, dans cette subtile et craquante partie d’osselets, les fémurs ont des oreilles… il semblerait même qu’il y ait de l’écho au logis. 😆
Prosit Flocal ! A votre santé et à celle de votre prose. 😉