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24 Pour me défriser le bigoudi.
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Transcript
Case 1:Bird 1: Quand j'étais jeune, j'étais coiffeur pour dames. Case 2:Bird 1: Quand j'ai été incorporé, je ne rêvais plus que de... Case 3:Bird 1: ... passer une perm' à Nantes.
Alors une qui défrise:
La digue du cul sur la route de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu la digue la digue
De Nantes à Montaigu la digue du cul !
La digue du cul je rencontre une belle(bis)
Qui dormait le cul nu la digue la digue
Qui dormait le cul nu la digue du cul !
La digue du cul je bande mon arbalète (bis)
Et lui fous droit dans l’cul la digue la digue
Et lui fous droit dans l’cul la digue du cul !
La digue du cul la belle se réveille (bis)
Et s’dit j’ai l’diable au cul la digue la digue
Et s’dit j’ai l’diable au cul la digue du cul !
La digue du cul non ce n’est pas le diable (bis)
Mais un beau dard poilu la digue la digue
Mais un beau dard poilu la digue du cul !
Et les routes de Nantes mènent à Camaret…
Dont le curé bien connu: « Duos habet et bene pendentes »
Une petite Bd gentillette, et voilà ce que ça donne avec des commentateurs lubriques ! 😳
Elle est pas neuve celle-là, Flocal.
Je la faisais régulièrement quand j’étais sous les drapeaux (la perm, en vrai à Nantes).
🙂
Ben… moi non, bien que j’aie fait mes classes à Angers, à l’ombre du château du Roi René.
Et je n’ai jamais été coiffeur. 😉
A Angers ?
Je comprends mieux ton Génie …
🙂
Ha, ha, ha, c’est vrai, et ça me fait penser à un gag.
Sur les prospectus de l’époque, « Engagez-vous, rengagez-vous », on montrait des AMX poseurs de ponts et autres bacs « Gillois », et, pendant mes 4 mois de classe, j’ai traversé tous les cours d’eau du Maine-et-Loire sur des ponts-de-singes. 😆