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13 C'était quoi le titre, déjà ?
Commentaire de l'auteur
Je ne sais plus si c'est vrai ou pas.
Rebonds :
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Transcript
Case 1:Bird 1: J'ai voulu monter une pièce sur la maladie d'Alzheimer. | Case 2: Bird 1: Les comédiens ne retenaient pas leur texte. | Case 3: Bird 1: Et à la fin on n'a eu aucun rappel.
Sans parler d’Alzheimer, il y a certaines pièces où l’on ne comprend rien ! 🙂
J’ai joué dans « Fin de partie », de Samuel Beckett.. De fait, il faut s’accrocher pour suivre. En revanche, c’est assez sympa à monter et à jouer.
Quel est l’intérêt du coup, de jouer un rôle que l’on ne comprend pas ? Alimentaire mon cher Watson ?
Ah mais on le comprend, du moins selon la façon dont on monte la pièce, l’objectif étant que le spectateur entre dans le jeu. Mais si vous lisez le texte sans le travailler un peu, je vous souhaite bon courage. Même remarque pour « En attendant Godot », ou chez Ionesco « Le roi se meurt » ou « Le rhinocéros ».
Pour l’alimentaire, mieux vaut éviter le théâtre de l’absurde et taper dans le boulevard.
♥ François Berléand disait qu’il avait commencé sa carrière avec des pièces où ils ne pigeait rien… 😉
Il pouvait pas faire de piges, donc… Arrff ! 😉
« Le roi se meurt », j’ai toujours cru que c’était un agriculteur qui l’avait écrite 🙂