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59 HIER SOIR 23 HEURES PONT DE L’ALMA.
Commentaire de l'auteur
Quel sans gêne ces campagnards !
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Transcript
Case 1:Bird 1: Le soir du 14 juillet, ce qui me gêne le plus ce sont tous... Case 2:Bird 1: ces provinciaux qui viennent à Paris admirer le feu d’artifice et qui ne paient même pas les impôts locaux. Case 3:Bird 1: P R O F I T EU R S !
Imagines le grand sportif-provincial d’1m95 qui sur le pont de l’ Alma te bouche la vue ?
1♥ & @+
Et ils sont contents, hein, ces Parisiens ?
Après les avoir vu défiler, ils sont contents, les Parisiens, de voir leurs impôts partir en fumée !
Gauche !… Gauche !… Présentez…. Armes !……………….. Oh, la belle bleue… combien ? 600€ ? C’est pas cher ! Oh, la belle rose… ♥
Ben oui, là…
Les provinciaux sont vexés et les parisiens font la gueule alors forcément, pas de cœur sur cette BD.
😆
J’étais place du Trocadéro et j’ai vu plus de chinois que de bretons. Heureusement, les asiatiques sont petits.
Nous, on nettoie les plages du varech pour que les parisiens ne tachent pas leur maillot en s’allongeant sur le sable et on ne leur demande rien.
Et la taxe de séjour, qui c’est qui la paye ? 🙁
Môsieur le capitaleux,
Le pont de l’Alma, pfff, j’y étais à un moment donné mais c’était trop tôt, trop loin. Au pied de la Tour Eiffel ? Trop près !
Si on ne peut pas prendre de la hauteur, la plus belle perspective à terre est à mon avis au pied de l’école militaire.
Comme vous le savez, il n’y a pas beaucoup de Parisiens à Paris au mois de juillet et août mais des touristes à la pelle.
Comme vous l’ignorez ou feignez de l’ignorer 😉 jmf, nous sommes redevables d’une taxe de séjour. Quand vous viendrez en Province, ce sera à votre tour de participer.
Dés que je peux, la suite du commentaire. Sous les pavés, la plage, prenez un pliant, je m’en vais vous pondre un long pavé… parce que Paris le vaut bien.
En attendant pour vous faire patienter, vous prendrez bien quelques vers sur le cercle des poètes. 🙂
@BP,
Pont des Arts ou des Soupirs… tant de ponts où coule la Seine, tant de lieux pour poser un cadenas deux cœurs.
Laissez passer les sentiments jusqu’à ce que des pans s’écroulent sous le poids… du temps qui passe, qui lasse ou qui casse.