Licence d'orthographe...
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Transcript
Case 1:Bird 1: "Licenciée pour des fautes d'orthographe, le Tribunal des Prud'hommes lui donne raison..." Case 2:Bird 1: Tiens, tiens... Intéressant ! A propos ... Case 3:Bird 1: Existe-t-il un Tribunal des Prud'oiseaux ?
Et pie quoi encore !
Oui, mais il lui a donné raison pour licenciement abusif, pas pour les fautes !
Si vous faites allusion à l’émission « Envoyé Spécial », c’est la Cour d’appel qui a réformé la décision du CPH de Paris dont le débouté de la salariée était inique.
Faire des fautes d’orthographe n’a JAMAIS été considéré comme une faute grave mais comme une « insuffisance professionnelle ».
Ce grief n’est pas inhérent à la personne mais peut-être considéré comme une « cause réelle et sérieuse » de la rupture du contrat de travail.
Dans le cas de l’émission citée supra, il s’agissait d’une inaptitude à un poste administratif en vue d’un reclassement thérapeutique préconisé par la médecine du travail.
Kristen Chaman, moi aussi, je suis heureux que cette employée AIT EU gain de cause…Elle ne s’est pas faite eue ! 😉
Halte au feu..! C’était juste une blague… 🙂
“Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage”.
Tu as raison Kristen, dans le cas présent la salariée a été malade durant 2 années et pour la reclasser au sein de l’entreprise, l’employeur lui a fait subir une épreuve d’orthographe sachant qu’elle serait incapable d’y satisfaire.
Il ne lui a même pas proposé une formation adaptée comme la loi lui en donne la possibilité.
Je dirais qu’il y a inadéquation évidente des fonctions proposées aux compétences de la salariée.
Néanmoins, une mauvaise orthographe, ne correspond pas du tout à la définition jurisprudentielle de la « faute grave ».
Bon, j’arrête, je deviens chiant. 😆
Oui, Kristen, vas-y. Ça nous remettra dans l’essentiel : le rire… 🙂