10
34
34 Cornes
Rebonds :
Cette BD vous a inspiré ? Rebondissez dessus en créant une BD liée : Rebondir...
Transcript
Case 1: Case 2:Bird 1: Je signale à tous ceux qui font des blagues idiotes sur les cocus, que ce ne sont pas des cornes mais des bois ! Case 3:
♥ Les bois ça me saoule… 😉
Au « fond » je m’en fiche puisque j’ai soif quand je cours alors je prends un « demi » !!!
1♥ & @ + 🙂
Toujours à trouver le détail qui tue hein ? …. 😉 🙂 ♥
J’aime le son des corps le soir au fond des bois.
Ok! Je sors…
Et merde il fait froid, tu peux me passer tes bois, j’ai une petite idée d’utilisation.
sauf que les cornes sont symboles de gloire, honneur exaltations d’après les Ecritures… Moïse est souvent peint avec des cornes symboles de rayons de lumière… longtemps les cornes ont été symbole de puissance souveraine (les vikings par exemple) … quant à savoir pourquoi elles sont devenues le symbole du cocu alors là… peut-être doit on trouver son origine dans les habits du fou des rois qui portaient des cornes … comme le supposent certains historiens du langage…
dommage pour les cornes..
Pour l’origine de l’expression, la multitude des explications trouvées sur le net rend compte qu’il n’y en aucune de certaine :
-Imaginez qu’un homme porte physiquement, sur le front, une bonne grosse paire de cornes. Ma foi, il sera le seul à ne pas pouvoir les admirer! Tout le monde les verra, sauf lui. « Avoir les cornes » signifie non seulement « être cocu », mais surtout « ne pas le savoir », alors que tout le village est au courant. Et en profite le cas échéant…
-Les prouesses sexuelles du cerf sont à l’origine de l’expression « avoir des cornes ».
Cette expression puise son origine dans le conte Merlin l’enchanteur qui date du XIIe siècle. Apprenant que son épouse se remarie, Merlin fonce à dos de cerf sur son rival ; fou de colère, il arrache les cornes de sa monture et tue l’amant en lui envoyant le trophée au visage.
-Cela provient d’une vieille légende sur les Dieux de la mythologie grecque : le dieu Pan. Célébré dans les cultes pastoraux, Pan, mi homme, mi animal, barbu, cornu, velu, vif et rapide, poursuit sans relâche nymphes et éphèbes. Dès lors, il peut être conçu comme le symbole du désir insatiable, de l’avidité sans borne, de la convoitise effrénée.
– A l’origine, il y a « cornart » (ou cornard, mot d’origine retenu par le dictionnaire Robert) qui, au XIIIe siècle, veut dire ‘imbécile’ puis « escorner » qui, au XVe siècle, veut dire ‘ridiculiser’. A cette époque et pendant encore longtemps, une manière très courue d’humilier, de ridiculiser quelqu’un était de le faire cocu et de le faire savoir (Edmond Rostand utilise le verbe « ridicoculiser »). La corne (qu’on entend dans les deux mots cités précédemment), c’était à la fois le sexe de l’homme et l’attribut qui désignait un homme ou une femme trompé. Planter des cornes a une connotation sexuelle évidente.
-Voltaire dit que les Grecs désignaient déjà par ‘bouc’ (donc porteur de cornes) le mari d’une femme très portée sur la chose, par comparaison avec les chèvres qui seraient très « chaudes ».
-Le mot ‘cocu’, c’est une déformation de « coucou » : cet oiseau qui pond ses oeufs dans le nid d’autres volatiles pour que sa progéniture soit élevée par les parents adoptifs contraints. Si on se réfère au comportement du coucou, on constate un transfert depuis l’amant (c’est lui qui devrait être nommé « cocu » puisque c’est lui qui prend la place du mari) vers ce dernier.
Avec ces bois…..Je l’orée un jour !
Darelli, les cornes et les bois, c’est toi qui m’avais fait la remarque sur une vieille BD ! 😉
je parlais d’un reportage que j’avais fait sur un Musée Jmf, j’avais rencontré une sommité à l’époque… (oui je sais sommité égal cornes ..)
sur Internet il y a pléthore d’explications effectivement très incertaines!