Salon de l’aigriculture.
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Transcript
Case 1:Bird 1: Mon Dieu !... Le salon vient juste d’ouvrir à Paris !Bird 2: Les culs-terreux débarquent de leurs bleds pourris... Case 2:Bird 1: La porte de Versailles va encore puer la bouse !Bird 2: Rien que la vue d’une botte de radis, ça me file le cafard Case 3:Bird 1: Cassez-vous pôv cons !Bird 2: Cassez-vous pôv cons !
Sully : Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France.
Un peu de respect pour les gens qui travaillent dur.
« Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France ». SULLY vers 1600.
415 ans de retard chère Madame.
Je savais que ça allait plaire. 😆
L’a craqué son slip le Dindon Fou ?
🙄
@Vespasien,
Ma BD est une vacherie. 😆
Pour ton éducation personnel : je crois savoir que Chirac s’attardait plus volontiers sur le cul des blondes d’Aquitaine.
Nobody, pour le proverbe « labourage et pâturage… », il est possible qu’il ait été prononcé sur n’importe quel autre meuble que Sully.
Donc, aucune certitude que ce soit Sully.
T’as raison, quoi de plus jouissif que les odeurs d’hydrocarbures, de pneus qui chauffent, de freins surmenés, d’embrayages qui crament.
Ils nous emmerdent, ces paysans, avec leurs odeurs « bio ». ♥
Non,j.Chirac n’a jamais privilégié les blondes d’Aquitaine.Il a également mis la main au cul des Bleues du Nord,Brunes et Bretonnes pie noir.
Il se devait d’être équitable pour représenter la France black blanc beurre.
Mais c’est quand même pas mal de la brouter et de la bourrer non ??
@Bussy,
Les agriculteurs travaillent dur ?
Mon œil !
Toutes les tâches sont automatisées, moisson, traite, distribution de nourriture, changement des litières…
Je n’invente rien, je l’ai vu sur ARTÉ.
Et en plus, ils nous pompent toutes nos subventions.
Aaaah ! Ça fait moins rire ça… 🙁
Ah Paris ! Son parvis de Notre-Dame, ses paris fous, ses paris sages, ses ragots, ses parigots … ses Champs, sa Tour, ses touristes… et puis sa pollution et tout le tralala comme dit Flocal.
Moi, il n’y a que Versailles qui m’aille mais Paris n’est pas Versailles. Ainsi Dindon se pavane au salon des bouseux… dans l’enclos des vaches, il doit être comme un poisson dans l’eau. 😆
Je ne voudrais pas faire la mouche du coche mais j’ai l’impression que le salon travaille l’animal :
http://www.birdsdessines.fr/2013/03/03/fin-du-salon-de-lagriculture/
19 cœurs fut un score honorable Nobody… le salon 2014 des birds dessinés fera-t-il autant d’entrées un 22 février ? A votre bon cœur m’sieurs, dames ! C’est pour l’énergie durable. 😉
Je me sauve… vous laisse en bonne compagnie avec ces dames de France et de Navarre.
@La Dame à la licorne,
Vous dépenseriez 13 € l’entrée pour bouffer 3 rondelles de saucisson qui puent le porc et un bout de fromage plein de poils de capra hircus… Ben merde !
Juste pour info : le métier d’agriculteur n’est pas le bagne non plus comme on vient de le lire. La majorité d’entre eux sont en GAEC donc en partenariat ou associés comme on veut. Ils se relayent donc pour ne pas bosser tous les week end, pour pouvoir avoir des vacances. La qualité de vie est différente par rapport à celle d’un ouvrier obligé de bosser toute la journée à un même poste à faire des gestes répétitifs. Le métier d’agriculteur est diversifié entre la culture, l’élevage, la vente… Dans le métier, les plus à plaindre sont les petites fermes indépendantes, trop petites pour bénéficier des mêmes aides et surendettées pour la plupart. Il faut savoir qu’un gros s’endette pour ne pas payer d’impôts sur le revenu. Je connais bien les deux façons d’exercer ce métier, le côté des gros et le côté des petits. Les plus méritants ne sont pas les plus aidés et ce sont eux qui coulent alors qu’ils produisent de la qualité et non pas de la quantité.
♥ par esprit de contradiction même si le propos me semble un peu dur.
Je crois qu’il faut relire le titre.
Le salon de L’AIGRICULTURE …. AIGRI-CULTURE !!
D’autre part, les attaques personnelles ou autres bouses ne sont pas indispensables pour faire connaitre intelligemment son point de vue.
🙁 🙁 🙁
♥ Moi, j’aime bien le deuxième degré de la BD de Nobody, j’aime bien aussi les agriculteurs et les parisiens, et je chante le bouse ♫♪♫♪♫…
@Vespasien,
Sur ma BD de l’année dernière il y avait de très nombreuses étoiles (30 je crois), les cœurs sont venus s’ajouter après et les étoiles ont disparues.
Une époque où le second degré pouvait encore être compris.
Je vais poursuivre mais que pour les esprits ouverts, les autres circulez.
@Max409,
Non Monsieur ! Les vrais français (je parle des parisiens intra-muros) ne touchent jamais le cul d’une vache et surtout pas des bretonnes, petites, aux mamelles maigrichonnes et aux os saillants de leur croupe.
Je le sais, j’en ai en photos dans mon Encyclopédia Universalis du Savoir Incontestable.
@Triskell,
Savez-vous que peu de temps après le salon de l’agriculture, il y a une épidémie de gastro à Paris ?
Ah ça le Nobody il connait les vaches ! Son salon, à lui, est recouvert des peaux des susdites.
Ici à la campagne, plus moyen de manger sain à cause des pesticides et autres engrais chimiques vaporisés en bordure de mon jardin par de gentils bonhommes masqués, perchés sur de drôles de machines.
Je me suis donc résigné à manger des grillons, vers, scarabées, sauterelles et larves. Pour ces deux dernières bestioles, le Sieur Nobody pourra nous donner l’explication de leur migration vers la capitale sur certains boulevards.
Après le salon de l’aigriculture, est-il question de « gastro en terrine » ?
Mon cher Verd0t, savez-vous que vous risquez de perdre votre âme et, plus grave encore, votre réputation en vous fourvoyant sur cette BD ?
Ce fil est parcouru par deux trois grossiers personnages aux propos excrémentiels qui trouvent agréable l’odeur de la fange.
Les attaques sont ad hominem il convient donc de démoucheter son fleuret.
Ne me dites pas que vous êtes provincial, je ne vous croirais pas. Un homme raffiné qui fréquentait la rôtisserie de la Reine Pédauque près de la gare St Lazare ne peut être issu des régions. 😉
Quant aux peaux de vaches, à qui le dites-vous, il m’arrive même de côtoyer une jolie fleur dans une peau de bovine.
😆
Très cher Nobody, permettez que je pollue cet endroit en toute connaissance de cause.
Mon âme est à jamais perdue depuis fort longtemps. Par malheur (bonheur) j’ai signé au bas d’un parchemin qui m’était présenté par un diablotin.
Le bougre m’a promit une fin de vie agréable, mais je n’en crois mot.
Quant à ma réputation, elle n’est plus à faire. Je l’ai abandonnée après 40 années passées à visiter quelques lieux de rencontres et salons que vous affectionnez tant dans notre capitale.
Par chance, ici, je suis incognito et à l’abri de tout relent nauséabond. Mais peut être que nous ne parlons pas des mêmes 😉
La jolie fleur que vous côtoyez devrait prendre garde au gorille (Georges … si tu passes par là !).